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COP21 : l’enseignement supérieur et la recherche au cœur des changements à venir
Après la tenue de la COP21 qui s’est déroulée au Bourget jusqu’au 11 décembre, et pour laquelle tous nos experts se sont mobilisés depuis le début de l’année, le Cabinet du secrétaire d’État, Thierry Mandon a publié un communiqué de presse.
L’accord international qui conclut la COP21 marque un tournant dans notre histoire. À cette occasion je veux saluer le travail extraordinaire des chercheurs qui ont marqué chacune des étapes conduisant à cet accord. Tout d’abord ce sont eux qui ont identifié le phénomène du changement climatique et ont établi la responsabilité de l’activité humaine dans les causes de celui-ci. Ensuite, ils ont su trouver une organisation efficace pour organiser un consensus international autour de cette question. Je veux saluer tout particulièrement les membres du GIEC*, auquel des chercheurs français ont apporté une contribution éminente. Ils ont enfin su convaincre les responsables politiques de l’urgence à agir.
Mais il ne s’agit pas seulement d’observer le changement climatique et ses conséquences. Il s’agit également d’élaborer des solutions afin de pouvoir nous adapter à ces transformations : les engagements pris aujourd'hui doivent permettre d’éviter le pire, mais il y aura néanmoins des conséquences au niveau mondial. Ces solutions nécessitent un effort de recherche, de développement technologique et d’adaptation des comportements humains. Un effort afin de former les générations du développement durable est également nécessaire, et les établissements d’enseignement supérieur ont commencé à y participer : il faut amplifier ces actions.
L’enseignement supérieur et la recherche ont été au cœur de la COP21, ils sont la colonne vertébrale du changement à venir.
Mais il ne s’agit pas seulement d’observer le changement climatique et ses conséquences. Il s’agit également d’élaborer des solutions afin de pouvoir nous adapter à ces transformations : les engagements pris aujourd'hui doivent permettre d’éviter le pire, mais il y aura néanmoins des conséquences au niveau mondial. Ces solutions nécessitent un effort de recherche, de développement technologique et d’adaptation des comportements humains. Un effort afin de former les générations du développement durable est également nécessaire, et les établissements d’enseignement supérieur ont commencé à y participer : il faut amplifier ces actions.
L’enseignement supérieur et la recherche ont été au cœur de la COP21, ils sont la colonne vertébrale du changement à venir.
Informations complémentaires
- En savoir plus
*Parmi les membres du GIEC figurent des chercheurs du Laboratoire des Sciences du climat et de l’environnement (LSCE - UMR8212 CEA/CNRS/UVSQ). Rappelons également que Valérie Masson-Delmotte est co-présidente du groupe de travail 1 du GIEC chargé d’étudier et d’estimer scientifiquement les causes et les évolutions du changement climatique.
- Contacts
01 55 55 84 24 – secretariat.presse@recherche.gouv.fr
Mise en ligne par Annelise Gounon-Pesquet, chargée de communication scientifique
annelise.gounon-pesquet@uvsq.fr