Lancement du projet Reimagining the Erasmus Experience (REX)

Notre ambition est de redonner de l’attrait à la mobilité pour la génération actuelle d’étudiants. Pour cela, il est essentiel de cerner les nouvelles attentes de ces derniers afin de leur permettre de faire des choix éclairés et de sélectionner les destinations de mobilité qui répondent au mieux à leurs aspirations. Le projet Reimagining the Erasmus Experience (REX) cherche à offrir aux étudiants des informations plus captivantes et adaptées aux attentes actuelles pour les aider dans leur choix de destination.

La participation étudiante au programme Erasmus+ a diminué, en partie en raison de la pandémie de Covid-19. Quatre ans plus tard, nous pensons qu’il est temps pour les étudiants de se tourner à nouveau vers les opportunités de mobilité. Aujourd’hui, la mobilité n’est plus perçue par tous comme l’opportunité unique qu’elle représentait autrefois. Il est donc crucial de bien comprendre les éléments qui influencent leur réflexion sur les possibilités de mobilité.

Ce projet vise à saisir les besoins et motivations des étudiants pour positionner la mobilité comme une option davantage en phase avec les valeurs de la nouvelle génération. L’une des dimensions centrales du projet est l’intégration des nouvelles technologies, telles que la réalité virtuelle (RV), pour enrichir l’expérience utilisateur. Cela encouragera davantage d’étudiants à s’engager dans la mobilité et à faire des choix plus éclairés.

Après une analyse approfondie de la littérature existante, le projet utilisera des enquêtes et des groupes de discussion pour explorer les éléments influençant la perception des étudiants envers le programme Erasmus et leurs décisions de destinations de mobilité. Une preuve de concept en RV sera également développée pour rendre l’expérience de sélection de destination plus immersive et captivante. En outre, des recommandations politiques seront émises pour établir les meilleures pratiques visant à améliorer les choix de destinations de mobilité des étudiants.

Le projet est coordonné par l’Université de Maribor, avec des partenaires comme l’Institut de technologie d’Izmir (Turquie), l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (France), Hogskulen på Vestlandet (Norvège) et la Fondation européenne de l’université.