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Portrait : Pierre Vitali, étudiant en alternance
Pierre Vitali, 22 ans, est étudiant en Master Politiques de Communication : Influence et Affaires Publiques, un master de l'Université Paris-Saclay opéré par l'UVSQ. Ce master a la particularité de s’effectuer en alternance dès la première année de master. Pierre témoigne sur son expérience en apprentissage.
« À la suite d’un bac général ES, j’ai effectué une licence de Science Politique à l’Institut Catholique d’Études Supérieures de La Roche-sur-Yon, en Vendée. Cette licence généraliste m’a permis de mieux comprendre notre société et ses différents enjeux. Dans ce cadre, j’ai pu étudier un semestre à l’étranger, à Budapest, ce qui a été une expérience très enrichissante humainement et culturellement.
J’ai décidé de m’inscrire à ce master en alternance car je souhaitais continuer mes études universitaires mais aussi commencer à m’immerger dans le milieu professionnel. L’alternance proposée par ce master me semblait alors idéale, regroupant des cours universitaires, qui continuent de favoriser la réflexion, et un véritable apprentissage de deux années en entreprise pour se former professionnellement. Loin d’être en opposition, cela me semble profondément complémentaire et utile pour un étudiant.
Je suis en apprentissage à la FNSEA, Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles, au sein du service de communication et des affaires publiques. C’est le syndicat historique des agriculteurs, fondé en 1946, qui fête cette année ses 75 ans. Il fait partie des organisations patronales françaises et des organisations professionnelles agricoles.
Mes missions sont très variées et permettent d’enrichir mon expérience de l’alternance. Au sein du service communication, je participe à l’organisation et à la mise en valeur d’événements ou actions du syndicat et au sein du service affaires publiques, je participe à la rédaction d’une lettre institutionnelle et de différentes notes. C’est pour moi très intéressant de participer, via cette alternance, à la vie syndicale française et de donner du sens à ce travail pour défendre les agriculteurs.
Le rythme de l’alternance est de 3 semaines / 1 semaine. C’est un rythme soutenu, c’est vrai, mais il permet d’être pleine-ment en immersion dans l’entreprise pour suivre des projets de fond et de long terme. La semaine à l’université est alors bien remplie, mais apporte un moment plus théorique et universitaire important.
En plus d’être un véritable atout pour l’insertion dans le monde professionnel post-diplôme, l’alternance apporte une vraie ouverture sur la société. Elle nous immerge dans un univers actif plus hétérogène et nous rend responsable de missions au sein de l’entreprise qui nous permettent de rendre concret ce que l’on a pu apprendre à l’université et même d’apprendre d’une nouvelle manière ».
J’ai décidé de m’inscrire à ce master en alternance car je souhaitais continuer mes études universitaires mais aussi commencer à m’immerger dans le milieu professionnel. L’alternance proposée par ce master me semblait alors idéale, regroupant des cours universitaires, qui continuent de favoriser la réflexion, et un véritable apprentissage de deux années en entreprise pour se former professionnellement. Loin d’être en opposition, cela me semble profondément complémentaire et utile pour un étudiant.
Je suis en apprentissage à la FNSEA, Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles, au sein du service de communication et des affaires publiques. C’est le syndicat historique des agriculteurs, fondé en 1946, qui fête cette année ses 75 ans. Il fait partie des organisations patronales françaises et des organisations professionnelles agricoles.
Mes missions sont très variées et permettent d’enrichir mon expérience de l’alternance. Au sein du service communication, je participe à l’organisation et à la mise en valeur d’événements ou actions du syndicat et au sein du service affaires publiques, je participe à la rédaction d’une lettre institutionnelle et de différentes notes. C’est pour moi très intéressant de participer, via cette alternance, à la vie syndicale française et de donner du sens à ce travail pour défendre les agriculteurs.
Le rythme de l’alternance est de 3 semaines / 1 semaine. C’est un rythme soutenu, c’est vrai, mais il permet d’être pleine-ment en immersion dans l’entreprise pour suivre des projets de fond et de long terme. La semaine à l’université est alors bien remplie, mais apporte un moment plus théorique et universitaire important.
En plus d’être un véritable atout pour l’insertion dans le monde professionnel post-diplôme, l’alternance apporte une vraie ouverture sur la société. Elle nous immerge dans un univers actif plus hétérogène et nous rend responsable de missions au sein de l’entreprise qui nous permettent de rendre concret ce que l’on a pu apprendre à l’université et même d’apprendre d’une nouvelle manière ».