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Des étudiants de l’UVSQ en visite à la Re-factory Renault de Flins
Le 8 novembre dernier, les étudiants du Master 1 Gestion des territoires de développement local ont eu l’opportunité de visiter la Re-Factory Renault du site de Flins dans le cadre du Campus des Métiers et Qualifications de l’Industrie Circulaire des Mobilités, porté par l’UVSQ
Cette visite de la Re-Factory a été réalisée dans le cadre d’une UE intitulée « Mondialisation, entreprises et territoires ». Cela a permis aux étudiants de Master de réfléchir globalement sur le rôle prépondérant des industries dans le réchauffement climatique et la possibilité de proposer des modalités de production induisant des impacts moindres (relocalisation, régionalisation de la production, économie circulaire, par exemple) mais aussi sectorielles (biomasse, méthanisation, géothermie, énergie renouvelable), et leur a permis de s’interroger sur la question du recyclage et de la transition écologique.
A travers l’exemple de la Re-factory, les étudiants ont également été amenés à réfléchir au rôle de l’économie circulaire dans la transformation du site historique de Renault en un complexe industriel privilégiant la réparation et la remise en état de véhicules et de pièces détachées, le recyclage des batteries de véhicules électriques et la production de piles à hydrogène.
Elise Willame, étudiante M1 GTDL, explique « qu’en tant qu’étudiante, et pas forcément initiée au secteur de l’industrie automobile, cela a été une opportunité de visiter un site d’éco-innovation industrielle. Cette rencontre nous a permis de discuter des enjeux de l’économie circulaire, concept central de la Re-Factory, avec des professionnels du secteur de l’industrie automobile. En complément des échanges et de la découverte du site, nous avons également participé à l’exposition « Tech Industry Days » qui présente les avancées techniques et les innovations de technologie industrielle mises en place par le groupe ».
De son côté, Clément Parrant, étudiant M1 GTDL, explique que cette visite lui a permis de « rencontrer et d’interagir avec le monde professionnel qui travaille sur les défis de transition liés à la mobilité (électrique, hydrogène) et aux promesses de l’industrie circulaire. Ça été aussi l’occasion de toucher du doigt les enjeux de reconversion de la filière automobile française. Pour nous, étudiants de Master, c’est toujours intéressant de se confronter aux réalités des acteurs et du terrain. En quittant l’usine, on a la sensation d’avoir vécu un voyage temporel où les premières machines mises en marche en 1952, se trouvent aujourd’hui connectées à un metaverse industriel ».
A travers l’exemple de la Re-factory, les étudiants ont également été amenés à réfléchir au rôle de l’économie circulaire dans la transformation du site historique de Renault en un complexe industriel privilégiant la réparation et la remise en état de véhicules et de pièces détachées, le recyclage des batteries de véhicules électriques et la production de piles à hydrogène.
Elise Willame, étudiante M1 GTDL, explique « qu’en tant qu’étudiante, et pas forcément initiée au secteur de l’industrie automobile, cela a été une opportunité de visiter un site d’éco-innovation industrielle. Cette rencontre nous a permis de discuter des enjeux de l’économie circulaire, concept central de la Re-Factory, avec des professionnels du secteur de l’industrie automobile. En complément des échanges et de la découverte du site, nous avons également participé à l’exposition « Tech Industry Days » qui présente les avancées techniques et les innovations de technologie industrielle mises en place par le groupe ».
De son côté, Clément Parrant, étudiant M1 GTDL, explique que cette visite lui a permis de « rencontrer et d’interagir avec le monde professionnel qui travaille sur les défis de transition liés à la mobilité (électrique, hydrogène) et aux promesses de l’industrie circulaire. Ça été aussi l’occasion de toucher du doigt les enjeux de reconversion de la filière automobile française. Pour nous, étudiants de Master, c’est toujours intéressant de se confronter aux réalités des acteurs et du terrain. En quittant l’usine, on a la sensation d’avoir vécu un voyage temporel où les premières machines mises en marche en 1952, se trouvent aujourd’hui connectées à un metaverse industriel ».