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8 pôles scientifiques à l'UVSQ
L’UVSQ structure et oriente sa recherche autour de 8 pôles scientifiques qui constituent le socle de ses filières de formation :
- Climat, environnement, développement durable
- Culture et patrimoine
- Inflammation, infection, cancer, environnement
- Santé publique : épidémiologie, vieillissement, cohorte
- Handicap
- Institutions, organisations et politiques publiques
- Matériaux innovants : de leur genèse aux applications
- Modélisation et simulation des systèmes complexes
Voir aussi :
- Les pôles de compétitivité
- Les plateformes technologiques
- Les chaires industrielles
Les actualités de la recherche
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La BD "Passion physique", coécrite par Marie-Amandine Pinault-Thaury, chercheuse au GEMaC, désormais en version anglaise !
La bande dessinée de la Société Française de Physique, sortie en 2023 à l'occasion de son 150e anniversaire, est désormais disponible en version anglaise. L'ouvrage est coécrit par Marie-Amandine Pinault-Thaury (chercheuse CNRS au GEMaC), Isabelle Mirebeau (chercheuse CNRS au LLB) et Aurélie Bordenave (dessinatrice scientifique). -
Des traces de suie préservées dans un spéléothème témoignent du contrôle du feu par les hominidés il y a 270 000 ans, dans la vallée du Rhone
L’origine de la maîtrise du feu est considérée comme un tournant majeur dans l’évolution de l’humanité et reste un sujet hautement débattu bien que central en archéologie. -
RAGaRenn
L’Université de Rennes, membre de l’alliance Edtech, a lancé une expérimentation autour de l’IA générative intitulée "RAGaRenn". L’objectif de cette initiative est de co-construire un cadre d’usage de l’IA générative avec l’ensemble des personnels, en s’appuyant sur une infrastructure locale de confiance. La plateforme est désormais accessible aux membres de l’UVSQ, via votre identifiant 4x4. -
Les émissions de gaz à effet de serre toujours en hausse, limiter le réchauffement planétaire sous 1,5 °C n'est désormais plus atteignable
Le budget carbone restant pour limiter le réchauffement planétaire à moins de 1,5 °C sera épuisé d’ici 3 ans, au rythme actuel des émissions de gaz à effet de serre.